On ne sait pas ce qui nous scandalise le plus : le fait que des parents aient été assez dérangés pour leur choisir de tels prénoms ou que l’état civil français les ait réellement approuvés… L’anti-guide des prénoms, publié en 2016, nous dévoile de véritables pépites. On partage nos préférés avec vous.
On a réussi à trouver des catégories pour certains ; pour d’autres, c’était plus compliqué : entre les illettrés, les indécis, les geeks et les romantiques, vous aurez de quoi rire…
Les briseurs de cœurs
Entre Boghosse, Kinglove, Playboy, Casanova ou même Loverziano, les jeunes filles de la cours de récré
Les grands buveurs
Les parents de Soda, Oasis et The-eau (Théo) devaient être particulièrement déshydratés au moment du choix du prénom…
Les mordus d’informatique
Google, Hashtag ou encore Excel, les parents devaient certainement être accros à la technologie…
Les passionnés de médecine
Les parents de Clitorine et Hutérine sembleraient avoir été marqués par leurs années d’étude de médecine, et on n’oublie pas Merdive ainsi qu’Euthanasia…
Les indécis : Tourolf ou Golfinelle ?
Sans doute produits de désaccords, on espère que les prénoms de Benjapaul, Charlolivier, Jenifaël ou Gabyélène ont réussi à réconcilier les parents…
Les illettrés
Certains enfants doivent s’en mordre les doigts, apparemment, les parents de Gabry-Aile (Gabrielle), Djustyne (Justine), Zac-Harry (Zachary) et Kill-Yann (Killian), ont rarement ouvert un dictionnaire, ou peut-être était-ce volontaire… ?
Les grands romantiques
On dit que l’amour rend fou, les prénoms de ces enfants en témoignent : Jetaime, Lola-Poupoune, Lagrâce-Divine, Liesse de Tendresse, C’est-Un-Ange, Léon-Mignon, Kissmy, Jean-Damour et Jean-Merveille ne manqueront certainement pas d’affection, espérons que ça compense l’humiliation…
Il reste enfin ceux pour lesquels nous n’avons trouvé aucune catégorie : Marie-Mercredi, Burger, Gerbade (clin d’oeil aux nausées de grossesse ?), Rusticule (on trouvera difficilement plus ridicule) ou encore Jésunette, les parents ne s’arrêtent plus…