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Vos 10 pires souvenirs d’accouchement

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Si l’accouchement est pour beaucoup de femmes le plus beau souvenir de leur vie, pour d’autres, cette journée se passe moins bien. En effet, toutes les jeunes mamans ne gardent pas un joli souvenir de leur accouchement, que ce soit à cause de la douleur, du personnel ou encore du stress. Quoi qu’il en soit, les récits d’accouchement un peu plus chaotiques sont tout aussi importants que les autres pour bien montrer ce qu’est la réalité d’une naissance.

L’histoire de Nina :

« Hémorragie de la délivrance. Je suis tombée à 5 de tension les médecins étaient en train de dire « on la perd ». C’est la transfusion sanguine qui m’a sauvé la vie. Merci a tous ceux qui donnent leur sang ! »

L’histoire de Lalie :

« 30 heures de travail avant l’accouchement, avec des contractions toutes les 5 minutes sans pouvoir dormir ni soulager la douleur. La péridurale qui n’a plus fonctionné au bout d’une heure, j’avais froid à trembler jusqu’à la fin de l’accouchement et du coup il était difficile de trouver la force de pousser. Mais quel soulagement quand j’ai eu ma fille dans mes bras ! »

L’histoire de Léa :

« Contractions pendant 10 heures à la maison. J’appelle hôpital, on me dit qu’elles ne sont pas assez rapprochées et que je ne dois pas encore venir, alors que j’avais une heure de route. J’ai appelé mon chéri et nous sommes partis quand même. En arrivant, césarienne d’urgence, ils hurlaient « code rouge », le cœur de bébé ralentissait… »

L’histoire de Mélanie :

« Mes deux pertes de connaissance en 5 minutes d’intervalle. Mon compagnon m’a dit qu’on avait l’impression que j’étais morte. J’avais les yeux grands ouverts dans le lit. Au final ils ont dû me mettre sur le côté jusqu’à ce que ce soit le moment de pousser »

L’histoire de Virginie :

« La sage femme hyper alarmiste qui m’a suivi ce jour-là. Mon accouchement a été idyllique, tout s’est parfaitement déroulé, mais on sentait qu’elle avait hâte que ça se termine… À la fin, elle a mis ses mains sur mon ventre, car elle estimait que je ne poussais pas assez bien à son goût.  Lorsqu’elle m’a dit que je n’y allais pas à fond, je lui ai gentiment répondu que si elle arrêtait de m’appuyer sur la cage thoracique, je pousserais sûrement mieux… Elle s’est reculée vexée et m’a dit :  » ça va faites-le toute seule ». Et en effet, en me laissant me débrouiller j’ai tout à fait réussi à pousser pour mettre ma fille au monde. Heureusement que je connais très bien mon gynécologue et qu’il était là pour me rassurer ! »

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L’histoire de Margaux :

« Le sentiment d’impuissance quand je me suis rendu compte que la tête de mon fils ne passait pas alors que j’étais à bout de force. Je n’ai même pas senti l’épisiotomie, mais mon chéri est sorti en moins de 10 minutes ! »

L’histoire de Laura :

« Après 11 heures de travail, j’ai poussé pour la faire descendre alors qu’elle était positionnée sur le côté. Le docteur a mis sa main à l’intérieur de moi pour la tourner et la faire sortir. Pour finir, au moment de me recoudre hémorragie et perte de connaissance… »

L’histoire d’Élodie :

« Quand je suis arrivée à l’hôpital après une journée de contractions et qu’on m’a dit que j’étais à 1 centimètre après une journée entière de contractions »

L’histoire d’Aurore :

« L’anesthésie pour la césarienne n’a pas fonctionné correctement. Anesthésie générale après 15 minutes de douleurs et de cris. Je n’ai pas pu voir mon fils avant 1 heure. Je n’ai plus su bouger mes jambes pendant 5 jours. La cicatrice a été douloureuse pendant plus de deux mois. Mais notre fils est avec nous et nous comble de joie ! C’est l’amour de notre vie ! »

L’histoire de Maëva :

« Lorsque la gynécologue m’a dit « on met la péridurale, si ça ne fonctionne pas, ce sera césarienne d’urgence « . Moi qui voulais un accouchement naturel… »