Prendre l’avion avec ses enfants peut souvent être une véritable angoisse pour de jeunes parents qui souhaitent voyager. Si le vol est un peu long, il peut rapidement devenir difficile d’occuper les petits qui ont généralement du mal à tenir en place. Seulement, les parents ne sont pas les seuls qui craignent les crises de nerfs des enfants dans l’avion. En effet, les passagers assis juste à côté des familles redoutent généralement le vol, surtout s’il est de plusieurs heures. Pour arranger cela, une compagnie aérienne japonaise propose de choisir sa place en fonction des places occupées par des enfants.
Choisir sa place selon celles des bébés
Les vols long-courriers peuvent pour beaucoup se transformer en un véritable cauchemar s’ils sont assis à côté d’un bébé. Même si ce dernier se montre très calme tout au long du vol, certains ne peuvent pas s’empêcher de redouter le moment où quelques sanglots se feront entendre. Pour remédier à cela, la compagnie aérienne Japan Airlines propose à ses voyageurs de choisir leurs places en fonction de celles où des enfants seront installés. Ainsi, grâce à des icônes qui apparaîtront au moment de choisir son siège, tout le monde pourra éviter ceux à proximité des bébés. Si cette idée est une véritable révolution et une astuce très ingénieuse pour certains, d’autres au contraire crient au scandale.
Une idée qui fait parler
Bien évidemment, les personnes qui se réjouissent de cette initiative sont celles qui n’ont pas d’enfants pour la plupart. Cependant, les parents sont plutôt divisés sur ce point. Sur Twitter, certains ont réagi à cette nouvelle en rappelant aux passagers impatients qu’il s’agit d’enfants et que par définition, il est parfaitement impossible de les contrôler comme des marionnettes.
En effet, les petits peuvent s’impatienter du fait de rester immobiles aussi longtemps, ce qui est parfaitement normal. Les adultes eux-mêmes peuvent avoir du mal à supporter les vols long-courriers qui peuvent donner l’impression d’être interminables.
Pour certains parents, cette mesure relève surtout de l’intolérance. Ils tiennent à rappeler que nous avons tous été un jour des enfants, ceux-là mêmes qui crient et pleurent dans les avions. Il est donc nécessaire de prendre un peu de recul sur la situation et surtout de se souvenir qu’il ne s’agit que d’une poignée d’heures dans une vie. Plutôt que de s’énerver et de perdre patience, il vaudrait peut-être mieux relativiser les choses et surtout respirer un bon coup.